AIR GEAR
Tome 1

Minami Itsuki est le chef d’un gang, celui de l’est, et lors de la bataille annuelle pour la répartition du territoire, il gagne une fois de plus haut la main. Il repart avec Ringo, son amie d’enfance, car il vit avec elle et ses 3 soeurs qui n’ont plus de parents non plus. Celles-ci le mène à la baguette, lui le plus fort du gang de l’est, surnommé "Heavy face"…
Cependant pendant ce temps, le gang de l’ouest possède de très bons amis surnommées les Skull Saders, une équipe de riders équipés d’Air treck, et ceux-ci les aident à prendre leur revanche contre le gang de l’est en tabassant tous ces membres… Itsuki (alias Ikki), tombe lui aussi dans le piège et se prend une cuisante défaite…

Par Siam l'Archiviste, le 1 janvier 2001

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Notre avis sur AIR GEAR #1 – Tome 1

On retrouve avec plaisir le style d’Oh! Great, avec ces petites nanas gentiment sexy et délurées, que l’on connaissait déjà pour son manga Enfer et Paradis, dans un registre différent cette fois-ci, mais pas tant que ça… On retrouve le thème des bagarres entre équipe et clans adverses, ce que l’on avait déjà dans sa précédente série, mais au lieu de nous trouver dans des arts martiaux quelque peu fantastique, il s’appuie ici sur le monde du skateboard et du roller "Air treck".
Donc si vous n’aimez pas trop les bagarres rythmées et enchaînant les positions les plus diverses et variées, ce manga ne sera pas pour vous. Néanmoins, même si ce premier opus peut paraître simpliste dans sa trame de départ, il est plutôt entraînant et agréable, car doté d’un solide dessin, avec des designs de personnage bien pensés et accrocheurs. Par la suite, la découverte de l’Air Treck par Ikki sont plus intéressantes, et on plonge enfin dans le vif du récit, nous entraînant dans le monde des riders, cette face cachée qu’on ne voit pas la journée…
Un scénario qui se construit donc petit à petit, dépassant le simple stade des bagarres/bastons entre gangs, et qui promet de devenir intéressant. Un premier tom concluant et accrocheur qui avec une histoire sympathique et un dessin accrocheur, va je l’espère, nous réserver de bonnes surprises.

Par Siam l'Archiviste, le 10 janvier 2008

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