AIGLES DECAPITEES (LES)
L'écuyer d'Angoulesme

Nous sommes en juin 1261. Sygwald de Crozenc est un jeune apprenti écuyer habile au maniement des armes mais un peu trop fougueux. De plus, il entretient une relation interdite avec une fille de joie.
A la suite d’un entraînement matinal avec son maître d’armes, il rencontre Claire de Mondor qui lui fixe un rendez-vous pour le banquet organisé par le Comte Hugues, seigneur d’Angoulême.
L’idylle naissante entre les godelureaux n’est pas faite pour plaire aux compagnons d’arme du jeune De Crozenc ainsi qu’à la vieille nourrice de Claire.
Par ailleurs, un mystérieux inconnu cagoulé semble s’intéresser aux agissements de Sygwal.
Tout porte à croire qu’un complot se trame…

Par phibes, le 1 janvier 2001

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Notre avis sur AIGLES DECAPITEES (LES) #18 – L’écuyer d’Angoulesme

Michel Pierret et Erik Arnoux nous entraînent au XIIIème siècle au temps où le roi Louis le neuvième, après des croisades bien malheureuses, oeuvrait pour une justice plus équitable dans son royaume de France.
Toutefois, à cette époque, il était monnaie courante que des complots soient fomentés par des personnes malintentionnées afin d’en discréditer d’autres.
Tel est le cas dans la présente histoire. Basé sur la jalousie que peut susciter la réussite d’un tiers à tout ce qu’il touche ou fait, le récit dont il est question met en avant Sygwald de Crozenc, jeune apprenti écuyer, fils d’Hughes de Crozenc que l’on a connu dans les premiers tomes de la série et disparu tragiquement lors de son périple en Terre Sainte.
On ne soulèvera pas d’originalité particulière par rapport aux précédents volumes si ce n’est la surprise (de taille) que l’on pourra avoir en lisant la toute dernière vignette.
Le classicisme des dessins agrémentés de couleurs somme toute appropriées ne rabaisse pas pour autant le niveau général de l’album dont la lecture est fort plaisante.
Suite au prochain numéro…

Par Phibes, le 3 mars 2007

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