AGENCE HARDY
Le poison rouge

Paris, 1955.
La belle détective Edith Hardy continue son enquête et découvre que le jeune savant Antoine Dubreuil s’est réfugié vers Moscou… aidé par divers services secrets, par son assistant Vittorio, elle va tenter de le rejoindre et de le ramener en France.

Par fredgri, le 1 janvier 2001

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Notre avis sur AGENCE HARDY #3 – Le poison rouge

C’est étrange, car si on lit les communiqués de presse on apprend que cette série est en passe de devenir une référence, un chef d’œuvre… Et dès les premières pages on est dépité… Non pas que ça n’ait aucune qualité, bien au contraire, mais c’est aussi très vieillot comme histoire, comme ton, comme ambiance, et, ensuite, tout se passe trop facilement, c’en est navrant. Edith Hardy n’a aucun effort à faire pour que tout lui tombe dans la bouche. Je me suis alors demandé : en quoi cela pouvait il être une référence ? Certes Christin est un scénariste qui connait très très bien son boulot, certes c’est rondement mené, efficace et documenté, mais, comme je le dis plus haut, il n’y a ancune surprise… « Tu vas là, tu dit telle phrase de code, tu vas chercher le gars et tu reviens… » et tout se passe comme prévu… A peine une légère anicroche trop vite réglée !

Bon, si vous aimez les polars ultra-classiques, les blondes vaporeuses… Vous devrez aisemment trouver votre bonheur avec « L’agence Hardy » !

Pour ce qui est des dessins, c’est dans le même ton, très classiques, très figés, mais ils dégagent quand même un certain charme qui permet vraiment de se couler assez agréablement dans cet album !

Alors, trop « vieillot » ? trop classique ? Cet album conclue le premier « arc » de cette série, l’occasion de lire l’ensemble d’une traite…

Bonne lecture !

Par FredGri, le 7 mai 2004

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