ABERZEN
Plusieurs noms pour le bleu

Etre mort n’est finalement pas de tous repos, surtout si vos compagnons, n’ont qu’une idée en tête : Vivre à nouveau.

Deuxième Opus et première véritable aventure de la série. Le pyrogemme installé dans la poitrine d’Hotis permet à l’équipe de se retrouver dans le monde d’origine de Janko. Notre équipe arrive en plein combat entre la tribu de Janko et les monstres dont le virus technorganique fait des ravages.

Par PASCAL, le 1 janvier 2001

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Notre avis sur ABERZEN #2 – Plusieurs noms pour le bleu

N’Guessan confirme ce qu’on attendait de lui. Le scénario laisse planer le suspens, mais offre peu à peu des éclaircissements. Il laisse cependant de grandes zones d’ombre qui donnent envie d’aller plus loin. Le propre d’un bon scénariste. Susciter l’envie de connaître la suite.
Peu à peu le monde d’Aberzen prend forme, en connaîtrons-nous un jour toute l’ampleur ? N’Guessan a toutes les libertés dans sa création, mais il aborde des sujets assez sensibles. Ici, on évoque la différence et l’intégration ! Et ça passe tout seul, habilement parce que pour un peu on ne s’en rendrait pas compte !

Par PASCAL, le 19 janvier 2003

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