421
1980-1983

L’agent secret anglais 421 est convoqué par ses supérieurs, son chef lui parle des derniers évenements étonnants qui se sont déroulés à Londres. Des drogues nommées Plantaline, Flicaïne ou encore Recordine, ou encore la canijuana ont commencé à faire des ravages depuis 1973. Mais il y en a une nouvelle qui est apparue et qui est restée top secret. Les hommes se prennent pour des femmes et les femmes pour des hommes. Les Services Secrets ont deux suspects : Joe Castagnets, mais ce dernier étant quand même un peu "abimé", il ne reste plus que La Silhouette. 421 doit mener son enquête et retrouver la piste de La Silhouette avant que cette autre drogue ne fasse de plus amples dégâts…

 

Par berthold, le 12 décembre 2016

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Notre avis sur 421 #Int.1 – 1980-1983

Cette intégrale reprend le tome 0 : "L’Épave et les millions (Carte blanche Spirou à… 5)", le tome 1 : "Guerre froide" et le tome 2 : "Bons baisers du 7ème ciel".

421 est une série créée par Stephen Desberg, l’auteur de L’Etoile du Désert, du Scorpion, d’IR$, d’Empire USA… et par Eric Maltaite, le dessinateur de Choc.
Cette série a fait ses débuts dans le journal de Spirou en 1980. 421 se veut être une sorte de parodie, en quelque sorte, de James Bond. Et ma foi, il est vrai que nous y retrouvons les clichés du genre, détournés par les auteurs.

421, de son vrai nom Jimmy Plant, est l’un des agents hors pair des services secrets. Dans sa première aventure, Desberg l’entraine dans une aventure où il doit enquêter sur un terroriste nommé La Silhouette, qui menace l’Empire Britannique d’une terrible drogue. Desberg nous offre un récit rocambolesque, drôle et pertinent. Les aventures de 421 sont très réussies.
Par la suite, nous voyons 421 faire aussi équipe avec des agents venus d’autres pays comme l’Australie, la France, les USA, la Chine et l’URSS. Mais ce que préfère 421: ce sont surtout les belles agentes ! Le séducteur sera souvent mis à rude épreuve !
Les intrigues des différentes aventures sont toutes réussies. On ne s’ennuie pas une seconde. Desberg fait même quelques runnings gags comme celui avec l’infirmière !

Quand à Eric Maltaite, bien sûr, on voit l’influence de son père Will dans le trait. mais il commence à s’en démarquer. Son dessin est efficace et parfait.

Un dossier nous fait revenir sur la création de la série. Un bon dossier agrémenté par des dessins inédits, photos et autre documents toujours intéressants.

Cette intégrale 421 est une collection que je vous recommande.

 

Par BERTHOLD, le 12 décembre 2016

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